vendredi 1 décembre 2017





La solution écologique ultime.

Avant d’énumérer plus avant les multiples mini-solutions pour réduire notre empreinte écologique individuelle, il est préférable d’énoncer une fois pour toutes LA solution à tous nos problèmes écologiques : réchauffement climatique, pollution, épuisement des ressources et surpopulation.

La solution réside tout simplement dans la dernière catégorie : la surpopulation.

Réduisons le nombre des individus sur la planète, et tous les autres problèmes se résoudrons d’eux-mêmes…plus ou moins.

Pour ce faire, il n’y a pas trente-six façons : il faut réduire le nombre de naissances au niveau mondial.

Un étude faite en 2013 ( http://www.atlantico.fr/atlantico-light/carte-naissances-et-morts-dans-monde-en-temps-reel-886865.html) révèle qu’à cette époque, il naissait 139 Millions d’êtres humains par année, et il en mourrait environ 62 Millions.
Si nous établissions un moratoire durable sur les naissances, ce serait environ 70 Millions d’individus  qui disparaitraient la première année (nous sommes plus nombreux qu’en 2013), et un petit peu moins  à mesure que la population se réduit, j’imagine.
Au bout de 10 ans, ce serait environ 500 Millions d’individus qui disparaitraient et peut-être 1 Milliard au bout de 20 ans !

Autre option, si on est moins pressé (et pourtant, il faut trouver rapidement une solution), réguler la population au niveau mondial de façon durable selon le barème de 1 individu -
1 enfant.
Autrement dit, un couple qui s’unit pour la vie aurait droit au maximum à 2 enfants.
Si un couple ayant eu 2 enfants se séparait, chaque partie de ce couple perdrait son droit à avoir un enfant avec un autre partenaire sauf si ce nouveau partenaire n’a pas encore eu d’enfant.
Selon ce principe, la population mondiale resterait à priori stable, sauf que certains enfants mourraient prématurément et que certains individus n’auraient pas d’enfants. Donc la population baisserait, mais très graduellement.

Personnellement, j’opterais pour le moratoire total pendant 20 ans, pour marquer le coup, et ensuite pour la politique de 1 individu
1 enfant.

Ainsi, toute femme qui aurait au moins 18 ans au moment de la prise de décision du moratoire pourrait décider d’en avoir un avant (pour satisfaire un besoin légitime de materner), et celles qui auraient moins de 18 ans auraient l’option d’attendre d’en avoir 38 avant d’avoir leur premier enfant, ce qui est tout-à-ait raisonnable.

Dans une optique plus réaliste sans moratoire, la population mondiale baisserait, mais à quelle vitesse ? Je n’ai pas été capable de l’évaluer, mais probablement quelques millions d’individus annuellement.

Pour mettre cette gestion de la natalité en place, ce serait en fait assez simple. Il faudrait déjà s’inspirer de ce que les chinois ont accompli par le passé.
On pourrait aussi prendre exemple sur ce qui a été fait chez nous par rapport à la cigarette  et au tri sélectif. Convaincre la population sur la durée que
faire trop d’enfants, c’est mal et faire moins d’enfants est un geste citoyen.

Si cette politique de propagande écolocitoyenne devenait efficace, on pourrait ainsi éviter d’inscrire celle-ci dans la loi et pénaliser toute personne qui ne s’y plierait pas.